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Il contribue aussi à animer les débats économiques et politiques grâce à sa section Acteurs et grâce à ses éditoriaux qui défendent l’économie de marché.
11 novembre 2022
COP27: quel sera le prix de la paix?
« Que devons-nous faire?
Exploiter nos ressources et nourrir non enfants et nos petits-enfants?
Ou les contempler et laisser nos enfants et nos petits-enfants mourir de faim parce que nous devons protéger la planète ? »
Eve Bazaïba, vice-première ministre et ministre de l’Environnement de la République démocratique du Congo (RDC), avait ouvert ainsi la pré conférence sur le climat COP27 organisé à Kinshasa.

17 novembre 2021

COP26: la guerre du climat est déclarée
Bhupender Yadav, ministre de l’environnement, des forêts et du changement en Inde: « Je suis désolé, je crois qu’un consensus reste difficile à trouver, les pays en développement ont le droit à une utilisation responsable des combustibles fossiles. »
Au final, le pacte de Glasgow sur le climat ne parle pas de « sortie » de l’énergie au charbon sans système de capture de CO2, mais bien de « diminution ».

17 novembre 2021

COP 26: The climate war is on
Bhupender Yadav, India’s Minister for Environment, Forests and Climate Change: « I’m sorry, I think a consensus is still hard to find, developing countries have a right to responsible use of fossil fuels. »
In the end, the Glasgow climate pact does not talk about an « exit » from coal-fired power without a CO2 capture system, but about a « decrease ».
A nuanced agreement just two days after China and the US committed to « enhanced action to raise ambitions during the 2020s » to combat greenhouse gases, without further details either.

17 novembre 2021

COP 26: Der Klimakrieg ist eröffnet
Bhupender Yadav, Minister für Umwelt, Forstwirtschaft und Klimawandel in Indien: « Es tut mir leid, ich glaube, ein Konsens ist immer noch schwer zu finden, Entwicklungsländer haben das Recht auf einen verantwortungsvollen Umgang mit fossilen Brennstoffen. »
Letztendlich spricht der Klimapakt von Glasgow nicht von einem « Ausstieg » aus der Kohleenergie ohne CO2-Abscheidungssystem, sondern von einer « Verringerung ».
Eine nuancierte Vereinbarung nur zwei Tage, nachdem China und die USA sich verpflichtet hatten, « verstärkte Maßnahmen zu ergreifen, um die Ambitionen während der 2020er Jahre zu erhöhen », um Treibhausgase zu bekämpfen, ebenfalls ohne weitere Details.

10 novembre 2021

COP26: la coissance économique actuelle est incompatible avec le climat
Siti Nurbaya Bakar, ministre indonésienne de l’Environnement et des Forêts, zone qui abrite la troisième plus grand forêt tropicale du monde, a déclaré le 3 novembre à la COP26 que « contraindre l’Indonésie à une déforestation zéro en 2030 est clairement inapproprié et injuste […].
Elle a renforcé son propos en relevant qu’il y a de multiples façons de définir la déforestation, et que tout accord ne pouvait pas arrêter la croissance économique. […]
Le développement massif de l’ère du président Jokowi ne doit pas s’arrêter au nom des émissions de carbone ou au nom de la déforestation […] ».

10 novembre 2021

COP26: Das derzeitige Wirtschaftswachstum ist mit dem Klima unvereinbar
Siti Nurbaya Bakar, die indonesische Ministerin für Umwelt und Wälder, ein Gebiet, das den drittgrößten Regenwald der Welt beherbergt, sagte am 3 November auf der COP26, dass « Indonesien zu zwingen, bis 2030 eine Null-Entwaldung zu erreichen, eindeutig unangemessen und unfair ist […] »
Sie bekräftigte ihre Aussage, indem sie feststellte, dass es viele Möglichkeiten gibt, Entwaldung zu definieren, und dass nicht jedes Abkommen das Wirtschaftswachstum aufhalten kann.

10 novembre 2021

COP26: Current economic growth is incompatible with the climate
Siti Nurbaya Bakar, Indonesia’s Minister of Environment and Forestry, home to the world’s third largest rainforest, said on November 3 at COP26 that « forcing Indonesia to achieve zero deforestation by 2030 is clearly inappropriate and unfair […]
She reinforced her point by noting that there are many ways to define deforestation, and that any agreement could not stop economic growth.
[The massive development of the President Jokowi era must not be stopped in the name of carbon emissions or deforestation […] ».

5 novembre 2021

Renoncer au fossile: le revers de la médaille!
Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, a déclaré lors du début de la COP26 que […] le moment est venu de dire «assez» aux énergies non renouvelables […]
De quoi parle-t-on, lorsqu’il est souhaité de sortir des énergies fossiles?
L’intégralité de notre développement économique repose sur l’énergie.
Celle-ci découle de plusieurs sources consolidées.
Il ressort que 61% de ladite énergie est directement issue du pétrole, gaz et charbon. Les quantités extraites de la terre sont: pour le pétrole (2019) 5.524.000.000.000 litres, ou 32 fois le volume de retenue d’eau du barrage d’Assouan, un des plus grands barrages au monde.

5 novembre 2021

Geben Sie das Fossil auf: die andere Seite der Medaille!
UN-Generalsekretär Antonio Guterres sagte zu Beginn der COP26, dass […] die Zeit gekommen ist, um « genug » zu nicht erneuerbaren Energien zu sagen […].
Worüber reden wir, wenn wir aus den fossilen Brennstoffen aussteigen wollen?
Unsere gesamte wirtschaftliche Entwicklung basiert auf Energie.
Dies ergibt sich aus mehreren konsolidierten Quellen.
Nach wie vor stammen 61 % dieser Energie direkt aus Öl, Gas und Kohle.
Die aus der Erde geförderten Mengen sind: für Erdöl (2019) 5.524.000.000.000 Liter, das entspricht dem 32-fachen Volumen des Assuan-Staudamms, einem der größten Staudämme der Welt.

5 novembre 2021

Give up the fossil: The other side oft he coin!
UN Secretary General Antonio Guterres said at the start of COP26 that […] the time has come to say « enough » to non-renewable energy […].
What are we talking about when we want to move away from fossil fuels?
Our entire economic development is based on energy.
This is derived from several consolidated sources.
It remains that 61% of this energy comes directly from oil, gas and coal.
The quantities extracted from the earth are: for oil (2019) 5,524,000,000,000 litres2 or 32 times the volume of the Aswan Dam, one of the largest dams in the world.

27 octobre 2021

«La finance représente la clé de voûte de la réussite de la transition»
J’étais en effet encore très enthousiaste lors de la 24e édition car elle faisait suite à Paris (COP21), la COP géniale, le gros déclencheur qui a amené une nouveauté: l’économie.
Paris a réuni les gouvernements, les entreprises et les ONG.
Lors de la 25e, on en était à Greta qui venait faire son discours.
On l’a écoutée.

27 octobre 2021

« Finance represents the keystone of successful transition »
As an observer, you have participated in most of the Conferences of the Parties (COP).
You were very confident in previous editions, but seemed a little disillusioned after COP 25.
Why was this?
I was indeed still very excited at the 24th edition because it followed Paris (COP21), the great COP, the big trigger that brought something new: the economy.
Paris brought together governments, companies and NGOs.
At the 25th, we were at Greta coming to make her speech.
We listened to her.
People took to the streets.
It became a global movement that raised awareness.

27 octobre 2021

«Die Finanzwirtschaft stellt den Grundstein für einen erfolgreichen Übergang dar»
Als Beobachter haben Sie an denmeisten Konferenzen der Vertragsparteien (COP) teilgenommen.
Während Sie bei früheren Veranstaltungen sehr zuversichtlich waren, wirkten Sie nach der COP 25 etwas desillusioniert.
Was war der Grund dafür?
Ausgabe war ich noch sehr enthusiastisch, weil sie auf Paris (COP21) folgte, die geniale COP, der große Auslöser, der eine Neuheit mit sich brachte: die Wirtschaft. Paris hat Regierungen.
Unternehmen und NGOs zusammengebracht.
Bei der 25. Konferenz waren wir bei Greta, die ihre Rede halten wollte. Wir hörten ihr zu.
Die Menschen gingen auf die Straße.
Es wurde zu einer weltweiten Bewegung, die zu einer Bewusstseinsbildung führte.

20 novembre 2020

Entreprises responsables: nouvel avantage compétitif suisse!
Nous sommes tous, indirectement au travers de nos fonds de pensions et autres formes d’application de la prévoyance, directement par nos actes d’achats et attitudes de consommation, liés de près ou de loin aux agissements des activités des multinationales.
Personne ne peut ignorer le respect à porter aux droits de l’homme internationalement reconnus et les normes environnementales internationales.
Les dispositions soumises au vote populaire stipulent clairement que les entreprises doivent respecter également à l’étranger les droits et les normes en veillant à ce qu’ils soient également respectés par les entreprises qu’elles contrôlent.

17 décembre 2019

COP25: la prochaine décennie est notre dernière chance
Le Brésil, l’Inde et l’Egypte, des pays représentant 20% de la population mondiale sur trois continents, font échouer un texte qui aurait enfin permis de faire un pas positif pour un engagement politique affirmé pour réduire les émissions de CO2.
Ce politique confirme un nouvel échec après Katowice en 2018, et ceci malgré une prise de conscience qui devient globale tant au niveau des populations, que de l’économie.

6 décembre 2019

C0P25: les villes, un acteur majeur au-delà des Etats
A l’origine du développement de la société, nous retrouvons les grandes civilisations qui ont évolué vers les cités-Etat, en passant par les empires pour arriver à nos Etats contemporains.
Ceux-ci voient en interne le développement de nouvelles cités Etat, de par l’emprise de zones urbanisées qui deviennent des mégapoles tentaculaires.
Ces entités de pouvoir propre représentent un acteur majeur d’inversion du réchauffement climatique.

29 novembre 2019

COP25: et si l’économie changeait de paradigme!
L’humain, par son modèle de développement économique, mène actuellement une guerre à l’encontre de la nature, s’il gagne, il est perdu.
Voici le constat que l’on pourrait retenir à la veille de cette énième conférence sur le climat, dont la volonté est d’accroître les engagements des pays en 2020.

19 décembre 2018

COP24 : un marché d’émission de CO2 à renforcer
Avec les directives de mise en œuvre de l’Accord de Paris adoptées à la COP24, les gouvernements disposent d’un cadre de transparence détaillé, destiné à promouvoir la confiance entre les pays avec la reconnaissance que tous contribuent à la lutte contre le changement climatique.
Une manière uniforme de comptabiliser les émissions de gaz à effet de serre afin de disposer d’un outil d’analyse permettant de prendre des mesures idoines.

18 décembre 2018

COP24: l’urgence climatique attendra
Les directives de mise en œuvre de l’Accord de Paris sont adoptées à la COP24.
Trois ans après sa conclusion à Paris, un «mode d’emploi» très technique de cet accord a finalement été approuvé.
Le paquet de directives qui a été adopté – appelé rulebook dans le jargon des négociations – est conçu pour encourager une plus grande ambition d’action en faveur du climat et doit bénéficier aux personnes de tous les horizons, en particulier les plus vulnérables.

7 décembre 2018

COP 24: mission impossible.
Le prix de la croissance !
Quelle sera la valeur des décisions qui seront prises dans le rapport final de cette nouvelle conférence.
Les intentions sont toutes positives.
Ce sont plus d’une centaine de conférences, rencontres, échanges, interventions qui, chaque jour, convergent vers la nécessité d’une action immédiate.
Néanmoins, les nécessités d’une croissance économique soutenue et la primauté d’intérêts spécifiques seront les principaux handicaps à toute application politique globale positive.

30 novembre 2018

COP24: le changement doit être économique
La 24e édition de la Conférence des Parties COP24 à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques se tient à Katowice, dans le sud de la Pologne.
Cette nouvelle édition doit permettre d’élaborer et d’adopter un ensemble de décisions garantissant la pleine application de l’Accord de Paris.

13 juin 2018

Six entreprises suisses se sont distinguées par leurs valeurs
Elles se nomment Abhati, Conser, GlobalanceBank, One Creation, Opaline et Softweb: ces six entreprises suisses ont reçu hier la reconnaissance Best for the World 2018.
Attribué par B Lab, l’association internationale de certification des entreprises qui défendent des principes éthiques et environnementaux, ce qualificatif démontre que ces six lauréats helvètes incarnent le changement: ils intègrent – au sein même de leur stratégie d’affaires – la mesure de leur impact sociétal.
«Ces entrepreneurs sont aujourd’hui des leaders qui se servent de la force du monde des affaires pour répondre aux enjeux sociétaux et environnementaux», explique Jonathan Normand, fondateur et directeur exécutif de la branche suisse de B Lab, qui existe depuis un an.

24 avril 2018

La Suisse engagée dans les technologies de l’environnement
La semaine qui vient de s’écouler a vu se dérouler pas moins de trois évènements en lien avec les défis économiques et industriels qui s’offrent à la Suisse.
Le Salon international des inventions de Genève a accueilli dans son espace l’Ile Verte qui a présenté des nouveaux modes de déplacements urbains, de la mobilité douce, de l’écologie, du développement durable et des cleantech.
Le Salon Energissima de Bulle a apporté des solutions concrètes pour répondre aux enjeux cruciaux liés à l’approvisionnement énergétique de demain et à la gestion efficace de l’énergie en général.
Le troisième évènement a été le Salon du Climat 2018 de Genève qui est dédié au marché des technologies et des solutions pour la protection du climat et la réduction des émissions de carbone.

2 février 2018

Reclassifier le «Private Equity» dans la loi pour une meilleure diversification
Selon les dispositions légales, chaque classe d’actif est répertoriée dans des limites individuelles et globales de différentes natures.
Le Private Equity est référé à l’article 53 OPP 2 «Placements autorisés», qui stipule que «Les placements alternatifs, tels que les fonds spéculatifs (hedge funds), les placements en private equity, les titres liés à une assurance (insurance linked securities), les placements dans l’infrastructure et les matières premières peuvent être considérés, mais que sous la forme de placements collectifs diversifiés, de certificats diversifiés ou de produits structurés diversifiés.» Pour le Conseil fédéral1, les placements en actions non cotées «Private Equity» sont à juste titre considérés comme des placements alternatifs, y compris à l’échelle mondiale.

5 décembre 2017

Toute bulle finit par éclater [Considérations sur le bitcoin]
L’AGEFI a posé dix questions à ses contributeurs sur le bitcoin afin d’offrir une véritable plateforme d’échange d’avis contradictoires pour se faire une meilleure idée de la nature du potentiel de la cryptomonnaie.
Le cours du bitcoin s’est récemment envolé au-dessus de 11.000 dollars après avoir vu sa valeur multipliée par dix en moins d’un an, suscitant un intérêt des investisseurs mais aussi un risque de bulle croissant.

21 novembre 2017

COP23: soutien déterminant des villes, des entreprises et de la société civile
Si l’on peut se féliciter du rythme sans précédent de ratifications (170 Parties engagées) de l’entrée en vigueur rapide de l’Accord de Paris, ainsi que de la détermination mondiale en faveur de sa mise en œuvre intégrale dans la foulée, telle que manifestée par la Proclamation de Marrakech pour l’Action en faveur du climat, il convient de relever l’engagement sans précédent des villes, de certains investisseurs, organisation de la société civile, mais surtout des entreprises.
Ces dernières sont le maillon fédérateur d’un mouvement qui doit s’amplifier jusqu’au consommateur.

7 novembre 2017

Ouverture de la COP 23 et stratégie climatique: le travail se poursuit
La 23e Conférence des Parties (COP) à l’Accord de Paris sur le climat s’ouvrait hier à Bonn, en Allemagne, pour deux semaines de travail et de négociation sur la politique climatique internationale.
L’Accord est entré en vigueur dans notre pays, en la date du 5 novembre.
Dimanche donc, soit 30 jours après que la Confédération ait déposé l’instrument de ratification auprès de l’ONU à New York, marquant par là son engagement pour le maintien d’un réchauffement climatique en dessous de 2°C par rapport aux niveaux préindustriels.

21 novembre 2016

Découpler la croissance et les émissions
Les nombreuses conférences ont continué de battre leur plein jusqu’à l’ultime moment de la clôture de la 22eConférence sur le climat à Marrakech.
Jeudi après-midi, une session plénière a donné la parole à plus d’une vingtaine de parties prenantes tierces, c’est-à-dire des organisations intergouvernementales ou non gouvernementales se faisant porte-drapeaux des aspirations, doléances, engagements et résultats de la société civile mondiale.

18 novembre 2016

La volonté d’agir est mise à l’épreuve
Le secrétaire d’État américain, John Kerry, a délivré hier à Marrakech un message résolument dynamique.
Au cours d’une allocation de près d’une heure, il a évoqué, tour à tour, la qualité des dispositions législatives de l’Accord de Paris, les enjeux économiques du marché en plein boom des énergies renouvelables et de l’engagement majeur du secteur privé dans le défi du changement climatique.

17 novembre 2016

Grande trilogie incontournable
La 22ème conférence des parties s’est ouverte lundi dernier sur une note très positive puisque moins de six mois après sa signature à New‐York, l’Accord de Paris est entré en vigueur.
Le seuil de ratification fixé à minimum 55 États, représentant 55% des émissions de gaz à effet de serre ayant été franchi.
Le programme de Marrakech se concentre désormais sur la stratégie de mise en œuvre de l’Accord. Et pour ce faire, les trois même enjeux centraux

26 janvier 2016

L’aura détériorée par les dérives financières
Le secteur de la microfinance témoigne de vifs désaccords entre diverses parties.
À l’échelle mondiale, il est parfois compliqué pour certaines IMF de trouver des financements, les défauts de paiements sont courants dans certaines régions et les sceptiques commencent à remettre en question son efficacité dans la conduite d’actions en faveur du développement économique et social ainsi que de la réduction de la pauvreté. D’audacieuses revendications sont faites, cependant, les auteurs sont généralement des décideurs politiques ou les consultants eux-mêmes et non les praticiens.
Évidemment, le premier argument en faveur des pratiques micro financières porte sur les bienfaits qu’ils prodiguent aux familles pauvres.

14 décembre 2015

Les industries et les investisseurs vont conduire le changement
De ce mégaévènement sans précédent, nous retiendrons la grande effervescence qui s’est emparée d’un large spectre des parties prenantes de la lutte contre le réchauffement climatique: organisations non gouvernementales; médias; délégations officielles; écoles, universités; ONU; Banque mondiale; FMI; OCDE; société civile et j’en passe.
Mais il y en a une qui, bien qu’a priori insoupçonnée, s’est largement emparée de ce mouvement; je veux parler de l’économie privée.

4 décembre 2015

Le coût des catastrophes climatiques
Le Global Climate Risk Index 2016 a été présenté hier en marge des négociations sur le climat en cours à Paris. Cette 10° édition de l’étude menée par Germanwatch est établie à l’aide de la base de données d’un des principaux réassurer mondiaux.
MunichRe, et constitue une des plus fiables en matière d’impact climatique extrêmes. L’équipe de recherche précise que les évènements climatiques enregistrés ne peuvent pas, pour des raisons méthodologiques, être exclusivement imputés aux dérèglements climatiques induits par l’homme.

27 novembre 2015

Méga-événement sans précédent
COP 21. La barre a délibérément été placée vers le bas L’objectif étant de conclure une alliance entre un maximum de parties.
Cinquante milliards de tonnes d’équivalent CO2 émises chaque année; 395 parties par million (PPM) de gaz carbonique dans l’atmosphère; 196 interlocuteurs en discussion; 10 jours de négociations; un objectif à 2°C degrés de réchauffement; un risque systémique mondial.
Quelques ordres de grandeur pour tenter de se représenter la complexité de l’exercice à exécuter à l’occasion de la 21e conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CNUCC).

26 novembre 2015

Investir contre l’exclusion sociale
L’immersion dans les bidonvilles d’Afrique permet de réarticuler les activités financières par rapport à la dimension économique.
Je suis parti au Kenya le lendemain des attentats de Paris.
Accompagné, j’ai pu visiter l’un des trois bidonvilles de la capitale Nairobi.
L’un de ceux-ci n’est autre que le quartier de Kiberia.
Une zone qui s’étend sur 256 hectares, en plein centre de la capitale. Près d’un million d’habitants avec une croissance estimée à près de 17% par année.
Une densité de 8 à 9 personnes par chambre.
En passant au travers de ruelles étroites d’à peine un mètre de large, on y croise les enfants qui vous regardent avec un sourire éclatant, des femmes d’une grande élégance, des personnes qui travaillent à la lueur d’un rai de lumière qui se fait un passage au gré des toits de tôle ondulée et d’autres qui s’occupent tant que ce peut.

19 novembre 2015

L’important défi des années à venir
Il convient de tracer une vision qui arrête de faire croire que tout un chacun peut prétendre à tout. D’éviter de tuer la libre entreprise.
Doit-on parler d’altermondialisation, d’associationnisme, de capital social, ou de commerce équitable ?
D’économie alternative, populaire, ou solidaire ?
De monnaie sociale, de socialisme participatif, de travail émancipé ou peut-être un peu de tout en même temps ?
C’est bien là le défi auquel notre époque est confrontée.
Il convient de tracer une vision qui arrête de faire croire que tout un chacun peut prétendre à tout.
De même qu’il convient d’éviter de tuer la libre entreprise.

31 janvier 2014

Le deuxième pilier, un centre de profit pour l’entreprise !
Le 2ème pilier, c’est la sécurité au quotidien par l’assurance d’une retraite décente.
Le 2ème pilier, c’est surtout une masse financière qui souffre souvent de ne pas être gérée comme elle le mérite.
Les placements à rendement garantis existent et de nombreuses formules spécifiques permettent de gérer le 2ème pilier de son entreprise de façon responsable et financièrement active.
La plupart des PME en ont conscience mais hésitent encore à changer leur mode de gestion en capital.

4 octobre 2013

L’économie positive
«L’économie change, changeons l’économie».
Tel était le slogan de ce deuxième Forum qui s’est tenu du 25 au 27 septembre 2013 au Havre. La forum peut compter sur Monsieur Jacques Attali qui s’est fortement engagé pour une économie remettant l’humain au centre du développement, en respect des siens et de l’environnement.
Après le succès de la première édition de 2012, d’un mouvement initié par PlaNet Finance, cet évènement, fréquenté par plus de 4000 personnes, rassemble des leaders du monde entier universitaires, politiques, syndicats, entreprises, ONG – autour d’une réflexion sur un modèle conomique plus durable, plus juste, plus équilibré.

6 septembre 2013

Bâle-Ville devient de plus en plus romande
Le troisième passage à la caisse était celui de trop.
L’abaissement du taux technique de 4% à 3% génère un déficit de couverture de 929 millions, qu’il aurait à nouveau fallu compenser pour maintenir la capitalisation complète, ou adapter le niveau de prestations de manière nettement plus radicale.
En réalisant par exemple le passage de la primauté de prestations à la primauté de cotisations.
La seule concession pour l’instant est le relèvement de l’âge de la retraite.

10 juin 2013

L’avenir des courtiers en assurances
Le 4° Forum annuel de l’Association des courtiers en assurances (ACA) a fourni un beau tour d’horizon de ce qui est l’essence du métier.
Les solutions qu’il propose doivent offrir une sécurité optimale à ses clients, quelle que soit leur situation de vie.
Une exigence qui l’oblige à tenir compte du contexte général et du cadre légal comme d’une grande variété de préoccupations personnelles, et finalement aussi des gammes de produits d’assurance disponibles.
Pour ce dernier point, les 120 courtiers présents et la vingtaine d’assureurs soutenant et événement ont bénéficié d’un espace dédié.

29 mai 2013

Nouvel acteur e l’immobilier vert
Différents investisseurs avaient rendez-vous hier au Lausanne Palace pour assister au lancement de Greenbrix, une nouvelle fondation de placement immobilier.
« La fondation Greenbrix, commente son futur président Jean-Baptiste Zufferey, est la première fondation de placement qui a été agréée depuis l’entrée en vigueur en 2002 de la nouvelle ordonance sur les fondantions de placement (OFP) ».
Il s’agit d’un véhicule d’investissement dans l’immobilier direct qui s’adresse exclusivement aux institutions de prévoyance ainsi qu’à des structures exonérées d’impôt servant à la prévoyance professionnelle.
Les placements visent à produire un rendement cible de 4% à 5% ou à permettre la réalisation d’une plus-value à terme.

25 mars 2013

L’approche fondamentale pour atteindre des objectifs de performances durables
Si l’on prend en compte les seules obligations suisses qui rapportaient en 1992 du 7,25% à 10 ans, elles ne donnaient plus que 3,5% en 2002 et 0,75% à ce jour.
Pour une allocation effective de 30% dans la dite classe d’actifs, l’évolution depuis 1992 conduit à une baisse annuelle de rendement direct de 1,95%.
Si cet état de fait n’est pas encore considéré, c’est bien à cause de l’effet de base du gain en capital qui ressort de cette réduction de rendement depuis près de 20 ans.
En effet, les caisses de pension qui auront géré un portefeuille conséquent en obligations suisses ont enregistré des plus-values non négligeables et ce plus particulièrement au cours de ces cinq dernières années (+22,09%).

3 mai 2012

Le nouveau produit de rendement
Le président du Conseil d’Etat vaudois Pierre-Yves Maillard veut relancer l’idée de financier des infrastructures publiques par des fonds en provenance de caisses de pensions au niveau cantonal.
Pour les experts du deuxième pilier, cette approche n’est pas forcément mauvaise.
Pour qu’elle soit cohérente, en restant dans l’idée d’un partenariat entre le secteur public et le privé, il faut néanmoins qu’elle respecte certains conditions-cadre.

9 novembre 2010

Coopérative pour technologies vertes
La nouvelle société d’investissement présentée hier en grande première à Vevey devant 275 invités réunit plusieurs concepts forts du moment.
Tout d’abord son thème d’investir exclusivement dans des sociétés actives dans les technologies de l’environnement.
Soit dans le domaine des énergies renouvelables, des nouveaux matériaux, de la gestion des ressources naturelles, des transports, de la chimie/biologie environnementale, de la gestion des systèmes environnementaux ou encore des déchets.

11 mai 2010

Le fonds de fonds SRI a levé 16 millions
Les fonds de placement veut avantager ses clients par l’intégration de critères environnementaux sociaux et de gouvernance (ESG).
Lancé le 1er mars 2010 par Coninco Wealth Management Pegase Glogbal SRI (PGSRI) est un fonds de fonds d’investissement socialement responsable (SRI).
En deux mots, ce dernier à déjà accumulé pour environ 16 million de francs d’actifs sous gestion, ce auprès d’investisseurs souhaitant réconcilier leurs engagements à long terme avec une performance financière durable.

28 avril 2008

Quelle politique de gestion?
La prévoyance professionnelle comprend ensemble des mesures prises sur une base collective pour permettre aux personnes âgées, aux survivants et aux invalides [ . .] de maintenir leur niveau de vie dc manière appropriée, lors dc la réalisation d’un cas d’assurance vieillesse, décès où invalidité – LPP Art. 1.
La corrélation induit un lien, rapport réciproque entre deux paramètres.
La gestion des actifs financiers est soit tactique, soit stratégique.
La deuxième option est détermine par l’article 50 OPP 2, alinéa 2 stipulant que: la sécurité doit être value spécialement en tenant compte de la totalité des actifs et des passifs, de la situation financière effective …

15 mai 2006

Les fonds de placement en tant qu’instrument de gestion active
Les fonds de placement ne représentent pas une réduction de risque contre la baisse des marchés et ne doivent pas être utilisés en tant que tel.
Pour les fonds autorisés à la vente en Suisse (sous entendu pour lesquels un appel au public peut être effectué au travers des médias, de salons financiers ou tout simplement dans les halls de banques), ceux-ci demeurent soumis à la surveillance de la CFB – Commission fédérale des banques.

1 juillet 2004

Prévoyance professionnelle: comment renforcer la confiance
Si les fortes corrections boursières intervenues durant les années 2001 et 2002 n’ont jamais mis en danger notre deuxième pilier, elles nous ont permis de constater que ce système n’était pas une vache à traire ou un ersatz de notre sécurité sociale.

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